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Quels sont les besoins de l'économie?
En ciblant le choix de la formation continue sur les besoins de l’économie, on augmente automatiquement ses chances de carrière. Si ces besoins sont susceptibles de changer rapidement, les personnes au bénéfice d’une formation de base et complémentaire de qualité profitent toujours de bonnes perspectives de travail. Il peut s’avérer utile de s'adresser aux différentes fédérations professionnelles et de branche, qui sont les mieux placées pour estimer la demande actuelle dans leur secteur. Elles renseigneront volontiers les intéressés sur les examens professionnels (brevet) et professionnels supérieurs (diplôme).
Les grands secteurs d’activité
La SEC Suisse répertorie différents secteurs d'activité:
Les coûts
Un perfectionnement sérieux a son prix. En fonction de la durée et du niveau, une formation peut coûter de quelques milliers à plusieurs dizaines de milliers de francs. Elle est souvent moins chère pour les membres de la fédération concernée. Il vaut la peine de demander à son employeur s’il est prêt à prendre en charge au moins une partie des coûts. Souvent, celui-ci donne son accord, tout en exigeant en contrepartie de l’employé qu’il continue de travailler pour lui quelques années.
Perfectionnement dans le domaine commercial
Les personnes qui ont achevé leur apprentissage d’employé(e) de commerce se retrouvent devant un choix quasi infini de possibilités de perfectionnement: de spécialiste du commerce international à planificateur en communication, en passant par officier d’état civil, tout leur est ouvert. Et le brevet fédéral n’est pas la dernière étape.
L’apprentissage d’employé(e) de commerce est le tremplin professionnel par excellence. L’offre en matière de formation continue étant immense, il est toutefois difficile d’avoir une véritable vue d’ensemble. Sans oublier que le cursus souhaité ne correspond pas toujours aux facultés personnelles. Les personnes qui désirent suivre une formation continue doivent donc bien connaître leurs points forts et leurs points faibles. Elles peuvent identifier ces derniers en s'auto-évaluant de manière objective ou en en discutant ouvertement avec leurs collègues et supérieurs. Il s’agit par ailleurs de savoir clairement quels objectifs on veut se fixer.Quels sont les besoins de l'économie?
En ciblant le choix de la formation continue sur les besoins de l’économie, on augmente automatiquement ses chances de carrière. Si ces besoins sont susceptibles de changer rapidement, les personnes au bénéfice d’une formation de base et complémentaire de qualité profitent toujours de bonnes perspectives de travail. Il peut s’avérer utile de s'adresser aux différentes fédérations professionnelles et de branche, qui sont les mieux placées pour estimer la demande actuelle dans leur secteur. Elles renseigneront volontiers les intéressés sur les examens professionnels (brevet) et professionnels supérieurs (diplôme).
Les grands secteurs d’activité
La SEC Suisse répertorie différents secteurs d'activité:
- Marketing, relations publiques, publicité
- Comptabilité, controlling
- Fiduciaire et fiscalité
- Gestion du personnel (ressources humaines)
- Organisation, administration
- Management, gestion d’entreprise
- Vente, commerce
- Banque, finance, assurances
- Informatique
- Tourisme, transports
- langues.
Les coûts
Un perfectionnement sérieux a son prix. En fonction de la durée et du niveau, une formation peut coûter de quelques milliers à plusieurs dizaines de milliers de francs. Elle est souvent moins chère pour les membres de la fédération concernée. Il vaut la peine de demander à son employeur s’il est prêt à prendre en charge au moins une partie des coûts. Souvent, celui-ci donne son accord, tout en exigeant en contrepartie de l’employé qu’il continue de travailler pour lui quelques années.